Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

bernard gauducheau maire udi de vanves - Page 11

  • LES COLLEGES MICHELET ET SAINT EXUPERY DE VANVES : RENOVATION ET CARTE SCOLAIRE

    A l’occasion de cette rentrée scolaire de la Toussaint, parlons de Michelet et de Saint Ex.  Les dotations de fonctionnement des deux colléges de Vanves  se montent à 227 789,28 € pour Michelet et 87 420,57 € pour Saint Exupery. Ce dernier bénéficie d’un acompte pour l’utilisation des gymnases municipaux  et d’un forfait ULIS. Par contre tous les deux ne voient pas  leur dotation de fonctionnement ecrêtée du fait d’un montant de leurs  fonds de réserve supérieur à 6 mois de fonctionnement, comme c’est le cas pour d’autres colléges dans les hauts de Seine. Ainsi les dotations prévisionnelles de fonctionnement (des collèges) qui ont été vôté par le Conseil Général le 19 Octobre dernier, se montent à 11 M€. Mais elles  ont suscité une émotion vive dans la communauté scolaire : A cause d’importantes diminutions et de leur gel en 2012/13, alors que l’inflation est de 1,8%. Sachant que cette enveloppe comprend les dépendes liées à l’administration,  la logistique et les crédits destinés aux activités pédagogiques (prés de 3 M€). Par contre, les dépenses de chauffage, de restauration scolaire et d’informatique ont été sorties de cette enveloppe ces dernières années

     

    Le Conseil Général a engagé une réflexion sur certaines dépenses des 99 colléges altoséquanais qui représentent 1200 bâtiments et 60% des dépenses énergétiques du département, et qui varient énormément de l’un a l’autre. Tous les conseillers généraux ont été d’accord pour dire « qu’il n’est pas normal qu’un collége ait 9 à 12 mois de fonds de réserves ». Heureusement ce n’est pas le cas à Michelet et Saint Exupery. Par contre, ils sont concernés par deux projets sur lesquels nous revenons : La rénovation du collége Saint Exupery et des équipements sportifs du lycée Michelet. Deux projets sur lesquels se sont fortement engagés Bernard Gauducheau (UDI) et Guy Janvier (PS) qui sont satisfait de l’état d’avancement.

     

     « Deux actions que je soutenais depuis pas mal de temps et qui aboutissent.  Reste maintenant à réduire les délais ! » indique le conseiller général qui rappelle toujours : «  Si je me suis engagé en politique, c’est pour essayer de régler les inégalités sociales qui commencent malheureusement dés le plus jeune âge, dès l’éducation. Ce qui veut dire qu’il y a un travail à faire au niveau de la maternelle, de la primaire. Et je suis satisfait par ces deux décisions importantes qui viennent d’être prise en matière scolaire »

     

    « Comme pour tous les équipements publics de ma ville, je suis en liaison permanente avec les responsables qui les gèrent et je suis vigilant quant aux travaux qui peuvent avoir lieu. Par ailleurs, je suis régulièrement la situation du Collège Saint-Exupéry grâce aux bons échanges avec la principale de l’établissement, Madame Landi. A ma demande, et avec l’appui du Conseiller Général, les services du Conseil Général des Hauts-de-Seine étudient un projet de rénovation du collège ! Lorsqu’il sera finalisé et financé, il sera porté à la connaissance des membres de la communauté éducative » indique de son côté Bernard Gauducheau .  

     

    Commençons tout d’abord par les équipements sportifs de Michelet 

  • VANVES ET LE GRAND PARIS : BERNARD GAUDUCHEAU PORTE PAROLE DE L’UDI AU DEBAT SUR LE SDRIF

    Bernard Gauducheau qui siége à la commission Aménagement du Territoire du Conseil Régional sera le porte parole du groupe UDI dans le débat sur le SDRIF (Schéma Directeur de la Région Ile de France) qui débute cet après-midi. Les débats risquent de se prolonger car plus de 364 amendements ont été déposés sur ce document de 640 pages qui  décline ses axes forts à partir de plusieurs thémes qui ont fait chacun l’objet d’un fascicule: « Vision Régionale » ; « Défis, Projets spatial et objectifs », « Orientations réglementaires » avec la carte de destination générale des différentes parties du territoire, « Evaluation environnementale », et « Propositions pour la mise en œuvre du SDRIF »

     

    Pour Jean Paul Huchon, président de la Région, ce projet répond à l’urgence et anticipe à long terme jusqu’en 2030. Il se fixe plusieurs objectif : Contrer la crise !  28 000 emplois par an, soit 2,7% de croissance par an « pour répondre aux problèmes de chômage et de territoires touchés par les effets de la crise ». Tout en reconnaissant que ce taux de croissance fixé en 2008 est supérieur à celui d’aujourd’hui. « Il faudra voir les effets des différents plans notamment de réduction des dépenses. A 2,7% on fait reculer le chomage » explique t-il. Construire 70 000 logements par an dont 30% de logements sociaux pour répondre à la crise du logement. Avec la création d’une AOL (Autorité organisatrice du logement), et un Etablissement Public Foncier unique à l’échelle régionale. Faciliter la mobilité avec Grand Paris Express, le Plan de Mobilisation des transports, le PDU. « Ainsi en 2030, 90% des franciliens seront à moins de 2 km d’une gare et gagneront entre 20 mn et 30 mn sur leur temps de trajet ». Renforcer la cohésion régionale et surtout rééquilibrer vers l’Est l’Ile de France avec les deux arcs de Grand Paris express,  les tangentielles et les projets de 10 tramways, la création d’emplois et de logements favorables aux départements 93, 94 et 95. Enfin proposer une meilleure qualité de vie aux franciliens en réussissant la transition et la conversion écologique avec priorité donné à la densité (autour des gares), au refus de l’étalement urbain et le gaspillage foncier, à la reconquête de terres agricoles, à la constitution de corridors écologiques.

     

    Ce projet prévoit de transformer les principales autoroutes urbaines dans la zone dense (A4, A1, Bd Périphérique) en « boulevards métropolitains » avec un meilleure partage de la voirie. Le groupe UDI, par la voix de Bernard Gauducheau,  devrait défendre la nécessité d’aménager sérieusement le périphérique parisien : « Le SDRIF prévoit de laisser le périphérique parisien en l’état. Il apparaît pourtant nécessaire d’engager une réflexion sérieuse, globale et innovante concernant cette infrastructure routière générant de nombreuses  nuisances pour les riverains. Le périphérique parisien est une « ceinture de fer » séparant Paris et la petite couronne. Il doit devenir un outil favorisant la continuité urbaine. Certaines parties de cette rocade routière sont couvertes et aménagées comme récemment au niveau de la Porte de Vanves. Il n’est donc pas incongru de réfléchir à sa couverture complète dans le respect des normes de sécurité et d’environnement. Cela s’inscrirait dans l’ambition d’un Grand Paris réconciliant la capitale et les villes limitrophes. Le SDRIF doit transfigurer le périphérique.  En 2030, Il faut que l’lDF nous surprenne par ses installations modernes ! A part le Grand Paris Express, il n’y pas d’audace, pas de geste architectural fort, pas d’aménagement urbain innovant pour désenclaver les territoires ».  

     

    Mais voilà, la région risque d’avoir un sérieux problème avec les maires, car la loi Duflot a permis de réinstaurer la primauté du schéma directeur : « Nous sommes la seule région à avoir un SDRIF prescriptif qui s’impose aux autres, qui prend en compte tous les projets et schémas  (Plan de mobilisation des transports, PDU, SRCAE, SRCE, PRAD etc…) des lois du Grenelle de l’Environnement et de la loi du Grand Paris ». Ce qui a valu cette réaction du président du Conseil général des Hauts de Seine : « Il faudrait que le Conseil Régional arrête de faire des documents prescriptifs. La rue Barbet de Jouy n’est pas le Vatican ». Il vient également tracer un cadre pour tous les PLU qui devront être révisé et définir des zones de constructions de logements mais aussi d’équipements.  « Les maires apprécient le dialogue, les mesures d’incitation, mais pas trop les mesures coercitives. Ils ont un territoire et on vient leur dire que dans le SDRIF il est considéré comme étant réservé à tel type d’activité, ou geler pour un espace vert. Vous allez construire des milliers de logements, mais on vous retire les terrains qui vous permettraient de les édifier » réagissait le président de l’assiociation des Maires franciliens au Saklon de l’Habitat Francilien hier auquel a participé le maire de Vanves. Et pourtant  le président de la Région se veut rassurant : « le Sdrif ne prétend pas dessiner chaque pâté de maison dans plus de 1200 communes mais il peut fixer l'urbanisation « à cent mètres près pour les vingt ans à venir ». En ajoutant que « les élus locaux auront à décliner le SDRIF en acte sur le terrain, tout en restant maître de leurs permis de construire, mais avec leurs contraintes (zones inondables, boisées…) ». Comme le remarquait un élu vanvéen averti : Alors que l’on vient d’adopter un nouvel PLU à Vanves, devrons nous le réviser de nouveau ?

  • SQUARE JARROUSSE A VANVES : PANSER LES PLAIES OU LE CONFIER A UN PAYSAGISTE ?

    « Au travers de ce qui se dit ce soir, nous allons faire une synthése. Et nous reviendrons vous faire une proposition de requalification de ce square, en reprenant vos idées » a déclaré Bernard Gauducheau (UDI), maire de Vanves, jeudi soir à l’école Marceau devant les vanvéens venus assister à la réunion publique consacrée au square Etiene Jarrousse. Il a même donnée une idée du calendrier en leur donnant rendez-vous dans un mois pour une présentation du projet car l’objectif serait de budgeter et réaliser les travaux en 2013. « Ce qui obligera à fermer le square pendant quelques mois » a-t-il prévenu en ajoutant : « Dans le cadre de notre démarche, il fallait présenter la problématique. Si des gens ont des idées, nos services vont les prendre en note, en faire une synthése,  pour revenir vers vous avec des propositions de requalification et sortir un projet qui gardera la fonction de square ». 

     

    Bernard Gauducheau était d’ailleurs accompagné de représentants de GPSO et des Services Techniques de la Ville qui ont pris beaucoup de notes lorsque les participants  se sont exprimés. David Mahé, conseiller municipal et proche riverain de ce square, qui s’est vu confié  une mission par le Maire sur ce square, était présent, avec beaucoup d’habitués et de riverains. « Ce square est arrivé au bout du rouleau. Tout le monde est conscient de ce square déclinait et se dégradait. Il est nécessaire de le requalifier, de le re-loocker comme nous l’avons avec le square du métro, tout en prenant compte l’aspect financier » a indiqué le maire en précisant que GPSO aura la maîtrise d’ouvrage car la Communauté Urbaine est compétente pour les espaces verts.  A ce moment là, un des participant a insisté sur le fait « qu’il s’agit d’une dégradation fonctionnelle plutôt que structurelle ». Auquel le maire a répondu que « de toute façon, il faut faire quelque chose » - « C’est peut être parce que c’est un architecte et non un paysagiste qui l’a conçu » a remarqué une riveraine au cours de la réunion en posant une question : « Allez-vous panser les plaies ou refaire un projet avec un paysagiste ? » - « Nous ferons justement le point après cette réunion, et nous déciderons en fonction de notre potentiel (financier) » a répondu le maire.

     

    Il a présenté la situation actuelle, aidé de photos,  de ce square de 3440 m2 aménagé en 1991/92 par un architecte vanvéen et inauguré en Juin 1992 qui connait une fréquentation inter-générationnelle : Une cinquantaine d’arbres avec beaucoup d’essences, la plupart sain, seul le marronnier devant être renouvelé. « On a mis beaucoup de choses sur une surface réduite » a-t-il constaté en listant les équipements : Un kiosque « qui est à garder », avec des aires de jeux « mal situés et mal agencés, et dégradés » a ajouté une participante. Une présence de l’eau à reconsidérer, sachant qu’elle occupe 300 m2 dans ce square, avec une cascade tombée en panne à deux reprises dont le coût de remise en marche est excessif, des problèmes d’étanchéité qui ne permet plus de remplir les bassins et canaux qui ont coupé en deux ce square. Des accés peu qualitatifs et peu fonctionnels, avec une entrée de l’aire de jeux des tous petits bloqueé, et une serrureruie vétuste, une hauteur de clôture insuffisante pour éviter des incursions nocturnes, un sol boueux ou poussérieux en fonction du climat, avec des racines affleurantes, et des massifs incomplet du côté du bassin. Un éclairage souvent dégradé…

     

    La plupart des participants qui ont considéré que cette « analyse était juste », se sont plaint des actes de vandalismes, des incursions nocturnes, - « le square n’est pas ouvert la nuit, mais il est occupé » a constaté le maire -  des dégradations provoquées lors des sorties d’écoles, ou « les bandes qui le fréquentent parce qu’il n’y a plus de gardiens. Il ne faudrait pas qu’elles s’implantent »… « Ne serait il pas possible que la police fasse des rondes ». Bernard Roche qui a fait une enquête sur les espaces verts avec son Conseil des Seniors a indiqué que « deux types de public fréquentent ce parc : calme le matin, agîté et remuant l’après midi. Et c’est à cela que l’on devra s’adapter ! »

     

    L’un d’entre d’eux a insisté sur la dégradation de l’entretien en constatant que c’est dû à un changement d’équipe, de responsabilité. « Tant que c’était la ville, c’était bien fait. L’espace des Tous petits était ratissé quotidiennement ». Claudine Charge, conseillère  municipale PC qui va y lire et « parler avec les petites dames de Danton » régulièrement,  a insisté sur le fait que ce square, mais aussi  tous ceux de la ville, sont mal entretenus. Bernard Gauducheau a donné une explication à ce constat : « Si l’entretien des espaces Verts s’est dégradé, c’est parce qu’il y a eu un changement d’équipe, des difficultés de recrutement, lorsqu’il y a eu transfert de compétence à GPSO des espaces verts. Mais nous avons remonté la pente en 2012. Mais ce n’est pas facile de trouver de bons jardiniers, des qens qualifiés et qui ont envie de travailler ! On a 3 millions de chômeurs en France. Et on ne trouve pas de candidats ! »

     

    D’autres ont insisté sur l’aspect paisible de ce « parc », comme le dénomme très souvent ses riverains qui mettent en avant l’ensemble formé par cet espace vert avec les arbres et jardins des propriétés qui l’entourent. Le maire a reçu des courriers de vanvéens qui ont fait des propositions : un petit bassin pour les oiseaux. La supression des canaux et de la cascade. Alors qu’un autre insiste sur cette présence de l’eau qui attire du monde lors des beaux jours. Un agrandissement de l’aire de jeux pour les tous petits. Des allées surélevées et non en creux. Des bances (en plus grand nombre). Certains ont fait des propositons irréalisablers : L’éclairer toute la nuit ! S’inspirer de la Grande Bretagne avec un gardien aux accès pour les enfants etc… Rendez-vous dans un mois pour voir le résultat !